Il est composé du cœur et des vaisseaux (artères et veines). Le cœur est une pompe qui permet de faire circuler le sang dans les vaisseaux. Chaque battement cardiaque provoque une variation de la pression sur la paroi des artères appelée aussi tension artérielle.
C'est un examen simple et rapide qui impose la mise en place d’un brassard gonflable positionné sur le bras ou le poignet. Depuis la fin du 19 ème siècle, la pression artérielle est évaluée de façon indirecte à l’aide d’un stéthoscope positionné au niveau du pli du coude avec une lecture des chiffres de tension sur un cadran gradué ou une colonne de mercure.
Depuis les années 1990, la mise au point des tensiomètres automatiques permet la mesure de la tension sans l’usage d’un stéthoscope mais le positionnement d’un brassard sur le bras ou le poignet est nécessaire. La lecture des chiffres de tension SYS et DIA est faite sur un écran numérique avec une précision plus grande.
Elle correspond à la pression qui règne dans les vaisseaux au moment où le cœur se contracte. C’est le premier (le plus élevé ou maxima) des deux chiffres composant la mesure de la tension. Si les médecins annoncent habituellement la pression systolique comme un chiffre pouvant aller de 10 à 25, les tensiomètres automatiques ont une précision plus grande qui permet d’indiquer le chiffre SYS entre 90 et 250.
Elle correspond à la pression qui règne dans les vaisseaux entre deux contractions cardiaque. C’est le deuxième (le plus bas ou minima) des deux chiffres composant la mesure de la tension. Si les médecins annoncent habituellement la pression diastolique comme un chiffre pouvant aller de 6 à 12, les tensiomètres automatiques ont une précision plus grande qui permet d’indiquer le chiffre DIA entre 50 et 130.